mercredi 23 mai 2007

LUCIOLE


23 Mai.
Je sacre désormais ce jour sans lequel mon existence serait différent.
Certainement encore moins heureux.
Mais voilà, il a fallu que je te croise; ceci grâce à la fatalité.
Il devait de toutes les façons en être ainsi.
Dorénavant et j'en veux pour preuve l'anneau argenté que, sur mon poitraille, j'arbore ostensiblement.
Tu sais il n'y a pas un jour sans qu'il y ait ton visage dans ma gueule et dans mon battant.
Mais il n'y a plus rien et je ne puis plus rien
Alors je sauvegarde mes vieilles données dans mon programmateur.
Il y a une chance pour les bons souvenirs: La Mémoire ou mieux encore L'Espoir
Ciao Bella

2 commentaires:

Anonyme a dit…

tu es grand mon cow boy, tres grand!

le ballet des lucioles a dit…

vas-y molo mon camarade.
Il n'y a rien d'extraordinaire, c'est juste du vécu.